« […] C’est ma très grande faute d’orthographe. Voilà comment j’écris Giraffe […] »
Sans faute, Jacques Prévert
 

Ce projet vient révéler le trouble visuel abordé tout au long de mon mémoire (Le processus créatif d'un dyslexique).
Ce trouble fait partie intégrante de la vie du dyslexique, il s'insinue partout mais il n'est pas un obstacle. Il fait partie d'un univers onirique où il est utile. Il peut prendre la forme d'un paysage, d'une émotion, d'une couleur, qui sont le propre le de la façon de penser des dyslexiques.
On appelle cet état une rêverie créative, mais comment la rendre tangible ?
Giraffe prend ainsi la forme d'une applique. Elle nous offre un voyage troublant au coeur de cette rêverie créative permettant à son spectateur d'appréhender un nouveau rapport au paysage.